LECTURE CATHOLIQUE DE LA BIBLE

LECTURE CATHOLIQUE DE LA BIBLE

Nous presentons un article du P. Sergio Perez, IVE, sur la lecture catholique de la bible.

Introduction[1]

Développement de la recherche biblique et Magistère de l’Eglise

            Avant tout, il est nécessaire de reconnaître dans la vie de l’Église le bénéfice provenant de l’exégèse (ou interprétation) historico-critique et des autres méthodes d’analyse du texte développées récemment. Dans l’approche catholique de la Sainte Écriture, l’attention à ces méthodes est indispensable et elle est liée au réalisme de l’incarnation; cette nécessité est la conséquence du principe chrétien formulé dans l’Évangile selon saint Jean 1,14: le Verbe s’est fait chair.

            Le fait historique est une dimension constitutive de la foi chrétienne. L’histoire du salut n’est pas une mythologie, mais une véritable histoire et pour cela elle est à étudier avec les méthodes de la recherche historique sérieuse. Cependant, l’étude de la Bible exige la connaissance et l’utilisation appropriée de ces méthodes de recherche. S’il est vrai que cette sensibilité dans les études s’est développée plus intensément à l’époque moderne, il y a toujours eu cependant, dans la saine tradition de l’Eglise, un amour pour l’étude de «la lettre». Le désir de Dieu comprend l’amour pour sa Parole dans toutes ses dimensions: «Puisque dans la parole biblique, Dieu est en chemin vers nous et nous vers Lui, il faut apprendre à pénétrer le secret de la langue, à la comprendre dans sa structure et dans ses usages. Ainsi, en raison même de la recherche de Dieu, les sciences profanes, qui nous indiquent les chemins vers la langue, deviennent importantes»[2].

            Le Magistère vivant de l’Église, auquel il appartient «d’interpréter de façon authentique la Parole de Dieu, écrite ou transmise»[3], est intervenu avec un sage équilibre par rapport à la juste position à avoir face à l’introduction des nouvelles méthodes d’analyse historique. Nous nous référons particulièrement aux encycliques Providentissimus Deus du Pape Léon XIII et Divino afflante Spiritu du Pape Pie XII. Ce fut Saint Jean-Paul II qui rappela l’importance de ces documents pour l’exégèse et la théologie à l’occasion des célébrations respectivement du centenaire et du cinquantenaire de leur promulgation[4].

            L’intervention du Pape Léon XIII eut le mérite de protéger l’interprétation catholique de la Bible des attaques du rationalisme, mais sans se réfugier dans un sens spirituel détaché de l’histoire. Ne reculant pas devant la critique scientifique, il se méfiait des idées préconçues qui prétendent se fonder sur la science mais qui, en réalité, font sortir la science de son domaine.

            Le Pape Pie XII, au contraire, se trouvait face aux attaques des partisans d’une exégèse soi-disant «mystique» qui refusait toute approche scientifique. L’encyclique Divino afflante Spiritu, avec une grande finesse, a évité d’engendrer l’idée d’une dichotomie entre l’exégèse «scientifique» pour l’usage apologétique et l’interprétation «spirituelle» réservée à l’usage interne ou privé. Au contraire, le Pape a affirmé aussi bien la «portée théologique du sens littéral méthodiquement défini», que l’appartenance de la «détermination du sens spirituel … au domaine de la science exégétique».

            De cette façon, les deux documents refusaient «la rupture entre l’humain et le divin, entre la recherche scientifique et le regard de la foi, entre le sens littéral et le sens spirituel. Cet équilibre a ensuite été repris dans le document de la Commission Biblique Pontificale de 1993: «Dans leur travail d’interprétation, les exégètes catholiques ne doivent jamais oublier que ce qu’ils interprètent est la Parole de Dieu. Leur tâche commune n’est pas terminée lorsqu’ils ont distingué les sources, défini les formes ou expliqué les genres littéraires. Le but de leur travail n’est atteint que lorsqu’ils ont éclairé le sens du texte biblique comme parole actuelle de Dieu»[5].

L’interprétation  biblique du Concile Vatican II : une indication à recevoir

            Sur cet horizon, il est possible de mieux apprécier les grands principes d’interprétation propre à l’exégèse catholique exprimés au Concile Vatican II, particulièrement dans la Constitution dogmatique Dei Verbum: «Puisque Dieu, dans la Sainte Écriture, a parlé par des hommes à la manière des hommes, l’interprète de la Sainte Écriture, pour percevoir ce que Dieu Lui-même a voulu nous communiquer, doit chercher attentivement ce que les hagiographes ont réellement eu l’intention de dire et ce qu’il a plu à Dieu de faire savoir par leurs paroles»[6].

            Cette Constitution dogmatique remarque la double dimension de la Bible au moment de l’interpréter. D’une part, elle souligne sa dimension humaine, en indiquant l’importance de l’étude des genres littéraires et du contexte historique et litteraire comme éléments fondamentaux pour saisir la signification que l’hagiographe a voulu donner à un texte. D’autre part, la Sainte Écriture, devant être interprétée dans le même Esprit que celui dans lequel Elle a été écrite, la Constitution Dei Verbum indique trois critères de base pour tenir compte de la dimension divine de la Bible:

            1) interpréter le texte en tenant compte de l’unité de l’ensemble de l’Écriture;

            2) tenir compte ensuite de la Tradition vivante de toute l'Église, et

            3) respecter l’analogie de la foi.

            Seulement dans le cas où les deux niveaux méthodologiques -celui de nature historique et critique et celui de nature théologique- sont observés, on peut alors parler d’une exégèse théologique catholique, d’une exégèse adaptée à la Bible.

Sens littéral et sens spirituel

            Une écoute renouvelée des Pères de l’Église et de leur approche exégétique a contribué de façon significative à revaloriser une interprétation adéquate de l’Écriture, En effet, les Pères de l’Église (les Pères des premiers 7 siècles de l’histoire de l’Eglise) nous offrent encore aujourd’hui une théologie de grande valeur parce que centrée sur l’étude de l’Écriture Sainte dans son intégralité; ils sont d’abord et avant tout des «commentateurs de la Sainte Écriture»[7]. Leur exemple peut «enseigner aux exégètes modernes une approche vraiment religieuse de la Sainte Écriture, ainsi qu’une interprétation qui s’en tienne constamment au critère de communion avec l’expérience de l’Église, qui chemine dans l’histoire sous la conduite de l’Esprit Saint»[8].

            Ignorant, bien sûr, les ressources d’ordre philologique et historique qui sont à la disposition de l’exégèse moderne, la tradition patristique médiévale savait reconnaître les divers sens de l’Écriture en commençant par le sens littéral celui qui est «signifié par les paroles de l’Écriture et découvert par l’exégèse qui suit les règles de la juste interprétation», et en suivant par les sens spirituels[9].

            Rappelons ici la distinction classique qui établit la relation entre les divers sens de l’Écriture: «Littera, gesta docet, (le sens littéral enseigne les événements) quid credas, allegoria, (l’allégorie ce qu’il faut croire) Moralis, quid agas, (le sens moral ce qu’il faut faire) quo tendas, anagogia (l’anagogie vers quoi il faut tendre)»[10].

            Notons ici l’unité et l’articulation entre sens littéral et sens spirituel, lequel se subdivise en trois sens, avec lesquels sont décrits les contenus de la foi, de la morale et de la tension eschatologique. C’est seulement dans cette perspective que l’on peut reconnaître que la Parole de Dieu est vivante et s’adresse à chacun de nous dans l’actualité de notre vie.

            Dans la saisie de l’articulation entre les différents sens de l’Écriture, il devient alors décisif de comprendre le passage de la lettre à l’esprit. Il ne s’agit pas d’un passage automatique et spontané; il faut plutôt un dépassement de la lettre. Nous savons combien pour saint Augustin ce passage fut à la fois dramatique et libérateur; il crût aux Écritures, qui lui apparurent dans un premier temps si particulier et en même temps grossier, uniquement grâce à ce dépassement qu’il apprit de saint Ambroise à travers l’interprétation typologique, pour laquelle tout l’Ancien Testament est un chemin vers Jésus Christ. Pour saint Augustin, le dépassement de la lettre a rendu crédible la lettre elle-même et lui a permis de trouver enfin la réponse aux profondes inquiétudes de son âme, assoiffée de la vérité.

L’unité intrinsèque de la Bible

            À l’école de la grande Tradition de l’Église, nous apprenons à saisir également dans le passage de la lettre à l’esprit, l’unité de toute l’Écriture, puisque unique est la Parole de Dieu qui interpelle notre vie en l’appelant constamment à la conversion. Les expressions d’Hugues de Saint-Victor demeurent un guide sûr pour nous: «Toute l’Écriture divine constitue un livre unique et ce livre unique, c’est le Christ, il parle du Christ et trouve dans le Christ son accomplissement»[11].

            Envisagé sous l’aspect purement historique ou littéraire, la Bible n’est certainement pas simplement un livre, mais un recueil de textes littéraires, dont la composition s’étend sur plus d’un millénaire et dont chaque livre n’est pas aisément reconnaissable comme faisant partie d’un tout. Ceci vaut déjà dans la Bible d’Israël, que nous chrétiens appelons l’Ancien Testament. Dans le Nouveau Testament, en général, le terme «l’Écriture» (cf. Rm 4,3; 1 P 2,6) n’est pas utilisé, mais plutôt «les Écritures» (cf. Mt 21,43; Jn 5,39; Rm 1,2; 2 P 3,16), qui, néanmoins, sont ensuite considérées dans leur ensemble comme l’unique Parole de Dieu qui nous est adressée. Il apparaît ainsi clairement de quelle façon c’est la personne du Christ qui donne son unité aux «Écritures» en référence à l’unique «Parole de Dieu». Ainsi, on comprend ce qu’affirme le numéro 12 de la Constitution dogmatique Dei Verbum, en indiquant l’unité interne de la Bible comme le critère décisif pour une herméneutique correcte de la foi.

Le rapport entre l’Ancien et le Nouveau Testament

            Dans la perspective de l’unité des Écritures dans le Christ, il est nécessaire pour les théologiens comme pour les pasteurs d’être conscients des relations qui existent entre l’Ancien et le Nouveau Testament. Avant tout, il est évident que le Nouveau Testament lui-même reconnaît l’Ancien Testament comme Parole de Dieu. Il le reconnaît implicitement en recourant au même langage et en faisant fréquemment allusion à des passages de ces Écritures. Et il le reconnaît explicitement parce qu’il en cite de nombreux extraits et qu’il s’en sert pour argumenter.

            Dans le quatrième Évangile, Jésus déclare que «l’Écriture ne peut être abolie» (Jn 10, 35) et saint Paul précise en particulier que la révélation de l’Ancien Testament continue à valoir pour nous chrétiens (cf. Rm 15,4; 1 Co 10,11)[12]. En outre, la racine du christianisme se trouve dans l’Ancien Testament et le christianisme se nourrit toujours de cette racine (pensons, par exemple, à la place des Psaumes dans la Liturgie chrétienne).

            Par ailleurs, le Nouveau Testament lui-même s’affirme conforme à l’Ancien et proclame que dans le mystère de la vie, de la mort et de la résurrection du Christ, les saintes Écritures du peuple juif ont trouvé leur parfait accomplissement. Il faut observer cependant que le concept d’accomplissement des Écritures est complexe, parce qu’il possède une triple dimension:

- un aspect fondamental de continuité avec la révélation de l’Ancien Testament;

- un aspect de rupture; et

- un aspect d’accomplissement et de dépassement.

            Voyons un exemple: la notion de «sacrifice». Le mystère du Christ est en continuité d’intention avec le culte sacrificiel de l’Ancien Testament; il s’est cependant réalisé d’une manière très différente, qui correspond à plusieurs oracles des prophètes, et il a atteint ainsi une perfection jamais obtenue auparavant.

            Ces considérations manifestent ainsi l’importance incontournable de l’Ancien Testament pour les chrétiens, mais en même temps, mettent en évidence l’originalité de la lecture christologique. Depuis les temps apostoliques et ensuite dans la Tradition vivante, l’Église a mis en lumière l’unité du plan divin dans les deux Testaments grâce à la typologie.

            La typologie biblique (du grec typos = le modèle) est une doctrine théologique fondée sur le rapprochement entre une personne ou un événement de l'Ancien Testament (le type) et de la personne ou événement du Nouveau Testament (leur antitype). La typologie n’a pas un caractère arbitraire mais est intrinsèque aux événements racontés par le texte sacré; elle «discerne dans les œuvres de Dieu sous l’Ancienne Alliance des préfigurations de ce que Dieu a accompli dans la plénitude des temps, en la personne de son Fils incarné»[13].

            Les chrétiens lisent donc l’Ancien Testament à la lumière du Christ mort et ressuscité. Si la lecture typologique révèle l’inépuisable contenu de l’Ancien Testament en relation avec le Nouveau, cela ne doit toutefois pas conduire à oublier qu’il conserve sa valeur propre de Révélation que Notre Seigneur lui-même a réaffirmée (cf. Mc 12, 29-31). En conséquence, le Nouveau Testament demande aussi d’être lu à la lumière de l’Ancien.

            «Le Nouveau Testament est caché dans l’Ancien et l’Ancien est révélé dans le Nouveau»[14]. C’est ainsi qu’avec une profonde sagesse, saint Augustin s’exprimait sur ce thème. Il est donc important qu’aussi bien dans la pastorale que dans le milieu académique, soit bien mise en évidence la relation intime entre les deux Testaments, en rappelant avec saint Grégoire le Grand que ce que «l’Ancien Testament a promis, le Nouveau Testament l’a fait voir; et ce que celui-là annonçait de façon cachée, celui-ci le proclame ouvertement comme présent. C’est pourquoi l’Ancien Testament est prophétie du Nouveau Testament; et le meilleur commentaire de l’Ancien Testament est le Nouveau Testament»[15].

Les pages «obscures» de la Bible

            Dans le contexte de la relation entre l’Ancien et le Nouveau Testament, le Magistère de l’Eglise a aussi abordé le thème des pages de la Bible qui se révèlent obscures et difficiles en raison de la violence et de l’immoralité qu’elles contiennent parfois.

            À ce sujet, il faut avant tout tenir compte du fait que la révélation biblique est profondément enracinée dans l’histoire. Le dessein de Dieu s’y manifeste progressivement et se réalise lentement à travers des étapes successives, malgré la résistance des hommes. Dieu choisit un peuple et l’éduque avec patience. La Révélation s’adapte au niveau culturel et moral d’époques lointaines et rapporte, par conséquent, des faits et des usages, par exemple des manœuvres frauduleuses, des interventions violentes, l’extermination de populations, sans en dénoncer explicitement l’immoralité. Cela s’explique par le contexte historique, mais peut surprendre le lecteur moderne, surtout lorsqu’on oublie les nombreux comportements «obscurs» que les hommes ont toujours eus au long des siècles, et cela jusqu’à nos jours.

            Dans l’Ancien Testament, la prédication des prophètes s’élève vigoureusement contre tout type d’injustice et de violence, collective ou individuelle, et elle est de cette façon l’instrument d’éducation donné par Dieu à son peuple pour le préparer à l’Évangile. Il serait donc erroné de ne pas considérer ces passages de l’Écriture qui nous apparaissent problématiques. Il faut plutôt être conscient que la lecture de ces pages requiert l’acquisition d’une compétence spécifique, à travers une formation qui lit les textes dans leur contexte historico-littéraire et dans la perspective chrétienne qui a pour ultime clé d’interprétation l’Évangile et le commandement nouveau de Jésus Christ accompli dans le mystère pascal.

Bible et œcuménisme

            Dans la conscience que l’Église a d’être fondée sur le Christ, le Verbe de Dieu fait chair, le Magistère de l’Eglise a voulu souligner le caractère central des études bibliques dans le dialogue œcuménique en vue de la pleine expression de l’unité de tous les croyants dans le Christ[16]. Dans l’Écriture elle-même, en effet, nous trouvons la prière vibrante de Jésus au Père pour que ses disciples soient un afin que le monde croie (cf. Jn 17, 21).

            Tout cela nous renforce dans la conviction qu’écouter et méditer ensemble les Écritures nous fait vivre une communion réelle même si elle n’est pas encore pleine; l’écoute commune des Écritures nous pousse ainsi au dialogue de la charité et fait grandir celui de la vérité». En effet, écouter ensemble la Parole de Dieu, pratiquer la lectio divina de la Bible, se laisser surprendre par la nouveauté de la Parole de Dieu, écouter et étudier dans la communion avec les croyants de tous les temps: tout cela constitue un chemin à parcourir pour atteindre l’unité de la foi, en tant que réponse à l’écoute de la Parole.

            Les paroles du Concile Vatican II étaient véritablement éclairantes: «Les Écritures Saintes sont, dans le dialogue œcuménique lui-même, des instruments insignes entre les mains puissantes de Dieu pour obtenir cette unité que le Sauveur offre à tous les hommes»[17]. En conséquence, il est bon de développer l’étude, le débat et les célébrations œcuméniques de la Parole de Dieu, dans le respect des règles en vigueur et des diverses traditions.

P. Sergio Perez, IVE

 


[1] Cette introduction a été prise de l’Exhortation apostolique post-synodale Verbum Domini, du Pape Benoît XVI, publiée le 30 septembre 2010.

[2] Benoit XVI, Discours au monde de la Culture au Collège des Bernardins à Paris (12 septembre 2008): AAS 100 (2008), pp. 721-730. La référence vient de l’ouvrage de Jacques Leclerq, L’amour des lettres et le désir de Dieu.

[3] Concile Vatican II, Constitution dogmatique sur la Révélation divine Dei Verbum, n. 10.

[4] Cf. Saint Jean Paul II, Discours à l’occasion du 100e anniversaire de Providentissimus Deus et du 50e anniversaire de Divino afflante Spiritu (23 avril 1993): AAS 86 (1994), pp. 232-243.

[5] Commission biblique pontificale, L’interprétation de la Bible dans l'Église (15-04-1993), III, C, 1: Ench. Vat. 13, n. 3065.

[6] Const. Dei Verbum n. 12.

[7] Cf. Saint Augustin, De libero arbitrio, III, XXI, 59; De Trinitate, II, I, 2.

[8] Congrégation pour l’éducation catholique, Instr. Inspectis dierum (10 novembre 1989), n. 26: AAS 82 (1990), p. 618.

[9] Catéchisme de l’Église Catholique, n. 116.

[10] Catéchisme de l’Église Catholique, n. 118.

[11] Hugues de Saint Victor, De arca Noe, 2, 8: PL 176, 642 C-D.

[12] Cf. Catéchisme de l'Église Catholique, n. 121-122.

[13] Catéchisme de l'Église Catholique, 128.

[14] «In vetero novum patet; in novo veterum latet», Augustin, Questiones in Heptateucum, 2, 73: PL 34, 623.

[15] Idem, Homiliae in Ezechielem, I, VI, 15: PL, 76, 836 B.

[16] On rappelle cependant qu’en ce qui concerne les Livres dits deutérocanoniques de l’Ancien Testament et leur inspiration, les Catholiques et les Orthodoxes n’ont pas exactement le même canon biblique que les Anglicans et les Protestants.

[17] Concile Vatican II, décret sur l’œcuménisme unitatis redintegratio, n. 21.

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